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Nanophase Oxyde de fer sous forme d'écran solaire ultraviolet pour les anciens microscopes photosynthétiques

Addtime: 2017/09/18   Read:1205  Font size: Large Small

Nous proposons que les matériaux nanophase Oxyde de fer fournissent des niches importantes pour les anciens microbes photosynthétiques au début de la Terre qui ont finalement conduit à l'oxygénation de l'atmosphère de la Terre et à la formation de dépôts Oxyde de fer.

L'oxygène atmosphérique et l'ozone atténuent le rayonnement UV sur Terre aujourd'hui, offrant une protection substantielle pour les organismes photosynthétiques. Avec des flux de rayons ultraviolets susceptibles d'avoir été encore plus élevés au début de la Terre qu'aujourd'hui, l'accès au rayonnement solaire était particulièrement risqué pour les premiers organismes. Pourtant, nous savons que la photosynthèse s'est produite et a joué un rôle critique dans l'évolution ultérieure. L'importance primordiale était la protection à environ 250 à 290 nm, où des absorptions de pointe d'acide nucléique (environ 260 nm) et de protéines (environ 280 nm) se produisent. Les oxydes oxyde de Nanophase / oxyhydroxyde minéraux absorbent, et bloquent ainsi le rayonnement UV létal, tout en transmettant la lumière dans une grande partie des régions visibles et infrarouges proches de la photosynthèse (400 à 1100 nm).

En outre, ils étaient disponibles dans les premiers environnements, et sont synthétisés par de nombreux organismes. Sur la base de propriétés spectrales d'oxyde d'oxyde / oxyhydroxyde, de processus géologiques probables et des résultats d'expériences avec les organismes photosynthétiques, Euglena sp. et Chlumydomonus reinhardtii, nous proposons un scénario où la photosynthèse, et finalement l'oxygénation de l'atmosphère, dépendait de la protection des microbes précoces par des oxydes / oxydroxydes ferriques en nanophase. Les résultats de cette étude s'appliquent également à d'autres corps planétaires à usages de fer potentiellement habitables en raison de la pression évolutive pour utiliser le rayonnement solaire lorsqu'ils sont disponibles en tant que source d'énergie.

Cet article provient de la publication nasa publiée